Citations par et à propos de Sirius Black

Citations…

Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban

  • Messieurs Lunard, Queudver, Patmol, et Cornedrue
    spécialistes en assistance
    aux Maniganceurs de Mauvais Coups
    sont fiers de vous présenter
    LA CARTE DU MARAUDEUR (PA10)
  •  Madame Rosmerta : Jamais je n’aurais imaginé que Sirius Black prendrait le parti des Forces du Mal… Je me souviens quand il était petit, Poudlard… Si vous m’aviez dit à ce moment-là qu’il deviendrait ce qu’il est aujourd’hui, j’aurais pensé que vous aviez vu trop d’hydromel. (PA10)
  • Flitwick : – On aurait dit que Black et Potter étaient deux frères ! intervint le professeur Flitwick. Absolument inséparables ! (PA10)
  • La carte du Maraudeur s’adressant à Rogue : Mr Patmol voudrait faire part de son ébahissement à la pensée qu’un tel imbécile ait pu devenir professeur. (PA14)
  • Dans la Cabane hurlante : Black était par terre, au pied du mur, les bras en croix. Le souffle saccadé, il regarda Harry s’approcher de lui, la baguette magique pointée sur sa poitrine.
    – Tu vas me tuer, Harry ? murmura-t-il.
    Harry s’immobilisa devant lui et le regarda en le menaçant de sa baguette. Une ecchymose se formait peu à peu autour de l’oeil gauche de Black et son nez saignait.
    – Vous avez tué mes parents, dit Harry, la voix légèrement tremblante, mais la main qui tenait la baguette ne tremblait pas.
    Black leva vers lui ses yeux profondément enfoncés dans leurs orbites.
    – Je ne le nie pas, dit-il, très calme. Mais si tu connaissais toute l’histoire… (PA17)
  • – Très bien, répondit Black sans quitter le rat des yeux. Dis-leur ce que tu voudras. Mais dépêche-toi, Remus. Je veux enfin commettre le meurtre pour lequel on m’a mis en prison… (PA18)
  • Rogue à Sirius : – Donne-moi une bonne raison, murmura Rogue, une seule bonne raison de le faire, et je te jure que je le ferai.
    Black s’immobilisa. Il aurait été impossible de dire lequel des deux exprimait la plus grande haine. (PA19)
  • Lupin : – Il ne me l’aurait pas dit s’il avait pensé que c’était moi, l’espion, fit remarquer Lupin. C’est bien pour cette raison que tu ne m’as rien dit, Sirius ?
    – Pardonne-moi, répondit Black.
    – Bien sûr, Patmol, mon vieil ami, dit Lupin qui était en train de relever ses manches. Et toi, tu me pardonnes d’avoir cru que c’était toi, l’espion ?
    – Évidemment, répondit Black.
    Et l’ombre d’un sourire passa sur son visage. Lui aussi releva ses manches.
    – On le tue ensemble ? dit-il. (PA19)
  • – Qu’avait-on à gagner en combattant le sorcier le plus maléfique qui ait jamais existé ? dit Black, animé d’une terrible fureur. On avait à gagner des vies innocentes, Peter !
    – Tu ne comprends pas ! gémit Pettigrow. Il m’aurait tué !
    – ALORS, TU AURAIS DÛ MOURIR PLUTÔT QUE TRAHIR TES AMIS, MOURIR COMME NOUS SERIONS MORTS POUR TOI S’IL AVAIT FALLU ! (PA19)
  • A Sirius : – Vous plaisantez ? coupa Harry, la voix soudain aussi rauque que celle de Sirius. Bien sûr que je veux quitter les Dursley ! Vous avez une maison ? Quand est-ce que je peux m’y installer ? (PA20)
  • – Nous nous reverrons un jour, dit Black. Tu es… Tu es le digne fils de ton père, Harry… (PA21)

Harry Potter et la Coupe de Feu

  • Mais Sirius hocha la tête.
    – Elle a beaucoup mieux compris que vous qui était Croupton, Ron. Si tu veux savoir ce que vaut un homme, regarde donc comment il traite ses inférieurs, pas ses égaux. (CF27)
  • – Imaginez qu’aujourd’hui Voldemort soit au sommet de sa puissance. Vous ne savez pas qui sont ses partisans, vous ne savez pas qui travaille pour lui, mais vous savez qu’il est capable d’exercer son pouvoir sur des gens qu’il oblige à commettre des actes abominables malgré eux. Vous avez peur pour vous-même, votre famille, vos amis. Chaque semaine apporte son lot de nouvelles morts, de nouvelles disparitions, de nouvelles souffrances… Le ministère de la Magie est en plein désarroi, ses responsables ne savent plus quoi faire, ils essayent de tout cacher aux Moldus, mais, dans le même temps, des Moldus meurent aussi. La terreur règne partout… la panique… la confusion… C’était comme ça, à l’époque… Des périodes comme celles-là peuvent inciter les uns au meilleur et les autres au pire. (CF27)
  • – Depuis que j’ai appris que Rogue était professeur ici, je me suis demandé pourquoi Dumbledore l’avait engagé. Rogue a toujours été fasciné par la magie noire, il était réputé pour ça quand il faisait ses études. Un type répugnant, avec ses airs doucereux et ses cheveux gras.
    Harry et Ron échangèrent un sourire.
    – Quand il est arrivé à l’école, Rogue connaissait plus de sortilèges que les élèves de septième année et il faisait partie d’une bande de Serpentard qui sont presque tous devenus des Mangemorts. (CF27)
  • – Ce pauvre vieux Sniffle, dit Ron en respirant voluptueusement. Il doit vraiment t’aimer pour faire tout a, Harry… Tu t’imagines ? Être obligé de manger des rats dans une caverne… (CF27)

Harry Potter et l’Ordre du Phénix

  • – Personnellement, j’aurais été ravi d’être attaqué par des Détraqueurs. Une lutte mortelle pour le salut de mon âme aurait été bienvenue, histoire de rompre la monotonie du quotidien. Tu trouves que tu t’es ennuyé mais, au moins, tu pouvais sortir, te dégourdir les jambes, participer à une ou deux bagarres… Moi, je suis resté enfermé ici pendant tout un mois.
    – Comment ça se fait ? demanda Harry, les sourcils froncés.
    – Parce que le ministère de la Magie me recherche toujours et qu’à présent, Voldemort sait que je suis un Animagus, Queudver le lui aura dit. Donc, mon beau déguisement ne me sert plus à rien. Je ne peux pas faire grand-chose pour l’Ordre du Phénix… C’est du moins ce que pense Dumbledore. (OP5)
  • Mère de Sirius : – Opprobre et déshonneur, immondes bâtards, traîtres à votre sang, enfants indignes… (OP6)
  • Kreattur : -… il a une odeur d’égout et en plus, c’est un bandit, mais l’autre ne vaut pas mieux, cette horrible vieille bonne femme traître à son sang avec ses sales gosses qui viennent semer la pagaille dans la maison de ma maîtresse ! Oh, ma pauvre maîtresse, si elle savait, si elle savait quelle vermine est entrée dans sa demeure, que dirait-elle à ce pauvre Kreattur ? Oh, quelle honte, des Sang-de-Bourbe et des loups-garous et des traîtres et des voleurs, pauvre vieux Kreattur, que peut-il faire… ? (OP6)
  • – Comme tout le monde pense que je suis un tueur complètement fou et que le ministère offre dix mille Gallions de récompense pour ma capture, il m’est difficile de me promener dans la rue en distribuant des tracts, tu comprends ? (OP5)
  • Hermione : – Comme vous voudrez. Mais parfois, je me dis que la mère de Ron a raison et qu’il arrive à Sirius de te confondre avec ton père, Harry.
    – Alors, tu crois qu’il est un peu cinglé ? s’emporta Harry.
    – Non, je pense seulement qu’il est resté très seul pendant très longtemps. (OP9)
  • Sirius, qui était juste à côté de Harry, éclata de son rire habituel, semblable à un aboiement de chien.
    – Personne n’aurait songé à me nommer préfet, je passais trop de temps en retenue avec James. C’était Lupin, le bon élève, c’est lui qui a eu l’insigne.
    – Dumbledore espérait peut-être que je parviendrais à exercer un certain contrôle sur mes meilleurs amis, dit Lupin. Est-il besoin de préciser que j’ai lamentablement échoué ? (OP9)
  • A Harry : – Oui, mais le monde ne se divise pas entre braves gens et Mangemorts, fit remarquer Sirius avec un sourire désabusé. (OP14)
  • Il y eut un silence pendant lequel Sirius, la tête plantée au milieu des flammes, observa Harry. Un pli s’était dessiné entre ses yeux enfoncés dans leurs orbites.
    – Tu ne ressembles pas autant à ton père que je le pensais, dit-il enfin avec une nette froideur dans la voix. Pour James, c’était justement le risque qui était amusant. (OP14)
  • A Fred et George: Voilà pourquoi vous n’êtes pas membres de l’Ordre… Vous ne comprenez pas… Il y a des causes pour lesquelles il vaut la peine de mourir ! (OP22)
  • A Rogue : – Qu’est-ce que ça veut dire ? répliqua Sirius en laissant sa chaise retomber sur ses quatre pieds avec un grand bruit.
    – Tout simplement que tu dois te sentir… disons frustré de ne rien pouvoir faire d’utile (Rogue accentua légèrement le mot) pour l’Ordre.
    Ce fut au tour de Sirius de rougir. Rogue retroussa la lèvre dans une expression de triomphe […] (OP24)
  • – Je t’ai prévenu, Servilus, dit Sirius, son visage à trente centimètres de celui de Rogue. Peu m’importe que Dumbledore pense que tu t’es repenti, moi, je sais très bien ce qu’il en est…
    – Dans ce cas, pourquoi ne pas le lui dire ? murmura Rogue. A moins que tu aies peur qu’il ne prenne pas très au sérieux les conseils d’un homme qui s’est caché pendant six mois dans la maison de sa mère ?
    – Dis-moi donc comment va Lucius Malefoy, ces temps-ci ? Il doit être ravi que son petit caniche travaille à Poudlard, non ?
    – En parlant de chien, reprit Rogue de sa voix doucereuse, sais-tu que Lucius Malefoy t’a reconnu la dernière fois que tu as risqué une petite promenade au-dehors ? Très habile, Black de te montrer sur un quai de gare où tu ne risquais rien… Ca t’a donné une excuse en acier trempé pour ne plus avoir à quitter ta petite cachette à l’avenir, n’est-ce pas ? (OP24)
  • – Dans ce cas, je viendrai droit au fait, dit Sirius qui se leva à son tour.
    Il était plus grand que Rogue et Harry vit ce dernier serrer le poing dans une poche de sa cape sur ce qui était certainement sa baguette magique.
    – Si jamais j’apprends que tu te sers de ces cours d’Occlumancie pour faire passer un mauvais moment à Harry, tu auras affaire à moi. (OP24)
  • A Harry : – Tu vas prendre ceci, murmura-t-il en lui mettant dans la main un paquet mal emballé de la taille d’un livre de poche.
    – Qu’est-ce que c’est ? demanda Harry.
    – Un moyen de me faire savoir si Rogue se montre trop dur avec toi. Non, ne l’ouvre pas ici !
    Sirius jeta un coup d’oeil méfiant à Mrs Weasley […].
    – Je doute fort que Molly m’approuve mais je veux que tu t’en serves si tu as besoin de moi, d’accord ? (OP24)
  • Le pire souvenir de Rogue : Harry éprouva le même sentiment d’excitation lorsqu’il vit Sirius répondre à James en levant le pouce. Sirius était confortablement installé sur sa chaise qu’il balançait d’avant en arrière. Il était très beau, ses cheveux bruns tombaient sur ses yeux avec une sorte d’élégance désinvolte que ni James, ni Harry n’auraient jamais pu imiter et une fille assise derrière lui l’observait avec un oeil plein d’espoir, bien qu’il n’eût aucun regard pour elle. (OP28)
  • Le pire souvenir de Rogue : Lupin avait sorti un livre qu’il s’était mis à lire. Sirius regardait les autres élèves se presser sur la pelouse. Il affichait un air hautain et ennuyé, mais avec beaucoup d’élégance. (OP28)
  • Le pire souvenir de Rogue : – Tiens, voilà de quoi t’amuser un peu, Patmol, dit James à voix basse. Regarde qui est là…
    – Parfait, murmura-t-il. Servilus.
    Harry se retourna pour suivre le regard de Sirius.
    Rogue s’était relevé et rangeait le questionnaire des B.U.S.E. dans son sac. Lorsqu’il quitta l’ombre des buissons et s’éloigna sur la pelouse, Sirius et James se levèrent à leur tour.
    Lupin et Queudver restèrent assis. Lupin était toujours plongé dans son livre mais ses yeux restaient immobiles et une légère ride était apparue entre ses sourcils. Queudver regarda successivement Sirius et James, puis Rogue, une expression d’avidité sur le visage.
    – Ca va, Servilus ? lança James d’une voix forte.
    Rogue réagit si vite qu’il semblait s’être attendu à cette attaque. Lâchant son sac, il plongea la main dans une poche de sa robe de sorcier et sa baguette était déjà à moitié levée lorsque James cria :
    – Expelliarmus !
    La baguette magique de Rogue fit un bond de quatre mètres dans les airs et retomba derrière lui avec un petit bruit mat. Sirius éclata d’un grand rire qui ressemblait à un aboiement.
    – Impedimenta ! dit-il en pointant sa propre baguette sur Rogue qui fut projeté à terre au moment où il plongeait pour ramasser la sienne.
    Autour d’eux, les élèves s’étaient retournés et regardaient. Plusieurs d’entre eux se levèrent pour venir voir d’un peu plus près. Certains semblaient inquiets, d’autres avaient l’air de s’amuser.
    Rogue était allongé par terre, le souffle court. James et Sirius s’avancèrent vers lui, leurs baguettes brandies. En même temps, James lançait des regards par-dessus son épaule vers mes filles assises au bord du lac. Queudver était également debout à présent. Il avait contourné Lupin pour mieux voir et contemplait le spectacle avec délectation.
    – Alors comment s’est passé ton examen, Servilo ? demanda James.
    – Chaque fois que je le regardais, son nez touchait le parchemin, dit Sirius d’un air mauvais. Il va y avoir de grosses taches de gras sur toute sa copie, ils ne pourront pas en lire un mot. […] – Laissez-le TRANQUILLE !
    James et Sirius se retournèrent. James se passa aussitôt la main dans les cheveux.
    L’une des filles assises au bord du lac s’était levée et s’approchait d’eux. Elle avait une épaisse chevelure roux foncé qui lui tombait sur les épaules et d’extraordinaires yeux verts en amande – les yeux de Harry.
    La mère de Harry. (OP28)
  • La bataille au Département des mystères : Seuls deux adversaires continuaient à se battre, sans s’être apparemment rendu compte de l’arrivée de Dumbledore. Harry vit Sirius se baisser et éviter un jet de lumière rouge jailli de la baguette de Bellatrix. Il éclata de rire en se moquant d’elle :
    – Allons, tu peux faire mieux que ça ! s’écria-t-il, sa voix résonnant en écho dans la vaste salle.
    Le deuxième jet de lumière le frappa en pleine poitrine.
    Le rire ne s’était pas complètement effacé de ses lèvres mais ses yeux s’agrandirent sous le choc. […] Sirius sembla mettre un temps infini à tomber. Son corps se courba avec grâce et bascula lentement en arrière, travers le voile déchiré suspendu à l’arcade.
    Harry vit la peur et la surprise se mêler sur le visage émacié, autrefois si séduisant, de son parrain qui traversa l’antique arcade et disparut au-delà du voile. L’étoffe déchirée se souleva un bref instant, comme agitée par une forte rafale, puis se remit en place. (OP35)
  • Lupin : – Tu ne peux rien faire, Harry… Rien… C’est fini pour lui. (OP35)
  • Phineas Nigellus : – Dois-je comprendre, dit lentement Phineas Nigellus, la gauche de Harry, que mon arrière-arrière-petit-fils – le dernier des Black – est mort ? (OP37)
  • Dumbledore : Sirius était un homme courageux, intelligent, énergique et de tels hommes n’ont pas coutume de rester chez eux à se cacher pendant que d’autres courent des risques. (OP37)
  • Il retourna le miroir. Sirius avait écrit quelque chose au dos.
    “Ceci est un Miroir à Double Sens. J’en possède un autre exactement semblable. Si tu as besoin de me parler, prononce mon nom en le regardant. Tu apparaîtras alors dans mon propre miroir et moi, je te parlerai dans le tien. James et moi utilisions ce moyen pour communiquer lorsque nous étions en retenue dans des endroits différents.” (OP38)

Voir aussi