Citations par et à propos de Bellatrix Lestrange

Citations…

Harry Potter et l’Ordre du Phénix

  • Sirius Black : – Imaginez qu’aujourd’hui Voldemort soit au sommet de sa puissance. Vous ne savez pas qui sont ses partisans, vous ne savez pas qui travaille pour lui, mais vous savez qu’il est capable d’exercer son pouvoir sur des gens qu’il oblige à commettre des actes abominables malgré eux. Vous avez peur pour vous-même, votre famille, vos amis. Chaque semaine apporte son lot de nouvelles morts, de nouvelles disparitions, de nouvelles souffrances… Le ministère de la Magie est en plein désarroi, ses responsables ne savent plus quoi faire, ils essayent de tout cacher aux Moldus mais, dans le même temps, des Moldus meurent aussi. La terreur règne partout… la panique… la confusion. C’était comme ça, à l’époque… Des périodes comme celles-là peuvent inciter les uns au meilleur et les autres au pire. (CF27)
  • À Harry : – Tu oses prononcer son nom ? murmura Bellatrix.
    – Oui, répondit Harry, sa main fermement serrée sur la sphère.
    Il s’attendait à ce qu’elle lance un autre sortilège pour la lui arracher.
    – Je n’ai aucune difficulté à dire Vol…
    – Ferme-la ! s’écria Bellatrix d’une voix aiguë. Tu oses prononcer ce nom avec tes lèvres indignes, tu oses le souiller avec ta langue de sang-mêlé, tu oses…
    – Vous saviez que lui aussi était un sang-mêlé, comme vous dites ? l’interrompit Harry, téméraire. Hermione laissa échapper un gémissement à son oreille.
    – Oui, la mère de Voldemort était une sorcière mais son père un Moldu… ou peut-être vous a-t-il dit qu’il était de sang-pur ?
    – Stupéf… (OP35)
  • L’un des plus grands parmi les Mangemorts le saisit alors par-derrière et lui plaqua les bras contre les flancs. Neville se débattit et donna des coups de pied, provoquant des éclats de rire chez les Mangemorts.
    – C’est Londubat, n’est-ce pas ? dit Lucius Malefoy d’un ton narquois. Ta grand-mère a l’habitude de perdre des membres de sa familles pour les besoins de notre cause… Ta mort ne représentera pas un grand choc pour elle.
    – Londubat ? répéta Bellatrix.
    Son visage émacié s’éclaira d’un sourire véritablement maléfique.
    – J’ai eu le plaisir de rencontrer tes parents, mon garçon.
    – JE LE ZAIS BIEN ! rugit Neville.
    Il se démena alors avec tant de force que le Mangemort qui l’immobilisait s’écria :
    – Que quelqu’un le stupéfixe !
    – Oh, non, non, non, dit Bellatrix.
    Elle paraissait transportée, débordante d’excitation. Son regard se porta sur Harry puis à nouveau sur Neville.
    – Voyons plutôt combien de temps peut tenir Londubat avant de s’effondrer comme ses parents… A moins que Potter préfère nous donner la prophétie ?
    – DE LA DODDE ZURDOUT BAS ! s’exclama Neville qui paraissait hors de lui, donnant des coups de pied, se tortillant en tous sens tandis que Bellatrix s’approchait de lui, sa baguette levée. DE LA DODDE ZURDOUT BAS, HARRY ! (OP35)
  • À Harry : – C’est la première fois que tu lances un Sortilège Impardonnable, n’est-ce pas, mon garçon ? hurla-t-elle.
    Elle avait renoncé à sa voix de bébé.
    – Il faut vraiment vouloir la souffrance de l’autre, Potter ! Et y prendre plaisir. La juste et sainte colère n’aura pas beaucoup d’effet sur moi. Laisse-moi te montrer comment faire, d’accord ? Je vais te donner une leçon. (OP36)
  • Seuls deux adversaires continuaient à se battre, sans s’être apparemment rendu compte de l’arrivée de Dumbledore. Harry vit Sirius se baisser et éviter un jet de lumière rouge jailli de la baguette de Bellatrix. Il éclata de rire en se moquant d’elle :
    – Allons, tu peux faire mieux que ça ! s’écria-t-il, sa voix résonnant en écho dans la vaste salle.
    Le deuxième jet de lumière le frappa en pleine poitrine.
    Le rire ne s’était pas complètement effacé de ses lèvres mais ses yeux s’agrandirent sous le choc. […] Sirius sembla mettre un temps infini à tomber. Son corps se courba avec grâce et bascula lentement en arrière, travers le voile déchiré suspendu à l’arcade.
    Harry vit la peur et la surprise se mêler sur le visage émacié, autrefois si séduisant, de son parrain qui traversa l’antique arcade et disparut au-delà du voile. L’étoffe déchirée se souleva un bref instant, comme agitée par une forte rafale, puis se remit en place. (OP35)

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